Pitoyable, c'est le mot que j'emploierais pour qualifier l'attitude du pseudo-champion Novak Djokovic, indeniablement l'un des trois meilleurs tennismen de tous les temps, mais encore à des années lumières des icônes que sont Fedal.
Ce tournoi du Grand Chelem nous le prouve encore. Comme si le bad buzz de l'adria tour, (organisé par le clan serbe🤡) qui avait vu nombreux de ses participants contracter le virus, ne suffisait pas. Comme si sa disqualification en 1/8eme de finale de l'US Open, la première pour un numéro 1 mondiale, ne suffisait pas. Comme si son attitude désinvolte et méprisante lors du tournoi de Vienne (où il perd 62 61 face à Sonego) ne suffisait pas. Le voilà enrôlé dans un nouveau Bad buzz, il déclare le 12 février souffrir d'une déchirure musculaire aux abdominaux, et être incertain pour son 1/8eme de finale face à Raonic. En conférence de presse, Taylor Fritz, malheureux adversaire de Djokovic au troisième tour, ironise sur la prétendue blessure du serbe et affirme qu'il ne voyait au 5e set aucun signe de blessure ou de douleur de la part de son adversaire qui avait complètement donné les deux sets précédents. (Cela m'a d'ailleurs fait pensé à la conférence d'après match de Carreno Busta, à peu près victime de la même entourlouperie à Roland Garros 2021). C'est avec stupeur que l'on apprend quelques heures avant le match, que Novak Djokovic jouera son 1/8e de finale, mais ne souffre-t-il pas d'une déchirure abdominale ? Serait-t-il donc prêt à sacrifier sa saison pour défendre ses chances dans son grand chelem le plus prolifique ? Chez certains cette participation ne faisait que confirmer leur pensée, Novak Djokovic a extrapolé sa douleur comme a son habitude et a affirmé des choses sur lesquelles il n'avait aucune connaissance. Sans difficulté, le numéro un mondial se défait du Canadien et file en 1/4 de finale puis en 1/2 finale du Grand Chelem australien. Après sa demie finale, il ose évoqué son état de forme et assure être complètement remis et en forme pour la finale qui l'attend Dimanche.
Bien évidemment, la côte déjà très faible du serbe en a pris un coup et force est de constater qu'elle n'atteindra jamais celles des deux légendes qui sont l'images de ce sport.
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